Académie troyenne d'études cartophiles

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jeudi 15 février 2018

ATEC-TROYES en Mars : "Hôpital Canadien Français vient calmer les souffrances"

ANNONCE CONFERENCE ATEC
17 Mars 2018 : Hôpital Général Canadien Laval N°6 - 1917-1918, par Jacques R. FOURNIER 

Il y a 100 ans, de janvier 1917 à juin 1918, le Lycée Marie de Champagne accueillait l’Hôpital Général Canadien Laval n°6  

La présence d’un hôpital canadien-français sur le sol troyen, et plus précisément dans son futur lycée de jeunes filles en construction, est un événement peu connu de l’histoire de la ville. Il témoigne d’un élan de solidarité remarquable des Canadiens francophones alors que leur pays est engagé dans ce conflit mondial en tant que dominion autonome britannique.

Les immenses besoins de secours aux très nombreux blessés des combats féroces qui décimaient notre belle jeunesse, nécessitaient une organisation et des moyens importants. Cette brochure cherche à apporter témoignage au dévouement de nos alliés Canadiens-français. L’ATEC rend hommage à ces hommes et à ces femmes infirmières, venus du Canada, pour leur implication auprès des soldats français et alliés et de la population troyenne.

mercredi 14 février 2018

ATEC-TROYES : l’Hôpital Général Canadien n° 6, un hôpital formé de Canadiens-Français


Des universitaires au secours des blessés des combats meurtriers sur le front champenois :
 Comment TROYES reçu l’Hôpital Général Canadien n°. 6, un hôpital formé de Canadiens-Français et représentant l’Université Laval de Montréal. 

mardi 13 février 2018

ATEC-TROYES : Bernard DIMEY un Champenois Universel



Bernard DIMEY ! par Jean LEFEVRE
Qui ne connaît pas le célèbre  Syracuse  que chantait Henri Salvador ? L’auteur s’appelle Bernard DIMEY.
Et  Mémère qu’a chantée Michel Simon, et Mon truc en plumes par Zizi Jeanmaire,? C’est encore notre DIMEY.

Mais DIMEY, c’est bien davantage, des textes, nouvelles  romans, poèmes et chansons, "au verbe mordant aux répliques acides. » Tous les chanteurs de l’époque l’ont chanté, vanté, admiré d’Aznavour, à Mouloudji en passant par Ferrat et Brassens. Il a fait du théâtre et du cinéma. Il a bourlingué. Il a souffert. Reste notre admiration. 

Savez-vous que Bernard DIMEY fut élève de l’École Normale de Troyes, rue du Premier mai ? C’est là qu’il fréquenta Jean-Jacques Kihm, Françoise Bibolet, Ostap Kuzma, puis d’autres Troyens le rejoignirent à Paris comme le caricaturiste Michel Moyne. 

Jean Lefèvre qui l’a connu du temps de cette folle époque, le présentera au public de l’ATEC, à la Maison du Patrimoine de Saint-Julien les Villas. (Derrière la mairie).

samedi 3 février 2018

ATEC-TROYES, Conférence Bernard DIMEY un Champenois universel, le 17 février 2018

BERNARD DIMEY présentation

Le 17 février 2018 une conférence de Jean LEFEVRE 
sur Bernard DIMEY
         "Bernard DIMEY un Champenois universel"

Le poète Bernard Dimey a vécu une partie marquante de sa jeunesse à Troyes dans les années 50. Il nous est arrivé de Nogent en Haute-Marne, a fait ses études à l’Ecole Normale du Premier-Mai, a déserté l’enseignement pour lequel il n’était pas fait, puis est parti tenter sa chance à Montmartre.
C’est là qu’il a vraiment commencé à être connu comme parolier et poète. Il y a rencontré des sommités de la chanson et de la scène avec qui il a vagabondé mais d’un vagabondage fécond. Ce furent Henri Salvador, Michel Simon, Aznavour, Reggiani, Claude Brasseur, Mouloudji, la Gréco… On lui doit Syracuse qu’il écrivit pour Salvador ou Mémère pour Michel Simon. Son œuvre poétique encore trop méconnue est considérable. Elle aurait été plus complète et sans doute plus aboutie, s’il n’avait brûlé la chandelle par les deux bouts à cause du « mal de vivre » qui l‘habitait en permanence.
         Jean Lefèvre qu’il a fréquenté à l’École Normale insistera dans sa conférence sur la période troyenne de Dimey quand il fréquentait Jean-Jacques Kihm ou Françoise Bibolet et quand il peignait sous le nom de Zelter.

         Bernard DIMEY un Champenois universel, dont Jean Lefèvre fera le portrait chaleureux, celui d’un écrivain touche-à-tout, sensible au petit monde, tout en  ayant soif d’absolu. « C’était un tragique qui ne se prenait pas au sérieux », dit Mouloudji.