Académie troyenne d'études cartophiles

*** L'adresse du siège social est ATEC - 3 rue de la Commanderie 10800 Saint Julien-les-Villas *** ***Plus de 30 ans d'action et de convictions L’ATEC ne bénéficie d'aucune subvention, qu'elle soit publique ou privée. L’ATEC s’autofinance par ses ventes de brochures au prix modeste de 10.00 € pour 50 pages couverture quadri. Soutenez l'ATEC, pour pérenniser notre action. Soutenez un loisir historique illustré par les cartes postales anciennes et contribuez à la conservation de notre patrimoine éditoriale.Vous aimez écrire, engagez-vous auprès de l’ATEC, envoyez mail à atecaube@gmail.com

samedi 3 février 2018

ATEC-TROYES, Conférence Bernard DIMEY un Champenois universel, le 17 février 2018

BERNARD DIMEY présentation

Le 17 février 2018 une conférence de Jean LEFEVRE 
sur Bernard DIMEY
         "Bernard DIMEY un Champenois universel"

Le poète Bernard Dimey a vécu une partie marquante de sa jeunesse à Troyes dans les années 50. Il nous est arrivé de Nogent en Haute-Marne, a fait ses études à l’Ecole Normale du Premier-Mai, a déserté l’enseignement pour lequel il n’était pas fait, puis est parti tenter sa chance à Montmartre.
C’est là qu’il a vraiment commencé à être connu comme parolier et poète. Il y a rencontré des sommités de la chanson et de la scène avec qui il a vagabondé mais d’un vagabondage fécond. Ce furent Henri Salvador, Michel Simon, Aznavour, Reggiani, Claude Brasseur, Mouloudji, la Gréco… On lui doit Syracuse qu’il écrivit pour Salvador ou Mémère pour Michel Simon. Son œuvre poétique encore trop méconnue est considérable. Elle aurait été plus complète et sans doute plus aboutie, s’il n’avait brûlé la chandelle par les deux bouts à cause du « mal de vivre » qui l‘habitait en permanence.
         Jean Lefèvre qu’il a fréquenté à l’École Normale insistera dans sa conférence sur la période troyenne de Dimey quand il fréquentait Jean-Jacques Kihm ou Françoise Bibolet et quand il peignait sous le nom de Zelter.

         Bernard DIMEY un Champenois universel, dont Jean Lefèvre fera le portrait chaleureux, celui d’un écrivain touche-à-tout, sensible au petit monde, tout en  ayant soif d’absolu. « C’était un tragique qui ne se prenait pas au sérieux », dit Mouloudji. 




Aucun commentaire: